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| @MyEdit |
Obsolète aborde un point crucial qui nous concerne tous : l’influence du réchauffement climatique et de la pollution sur la fertilité.
Salomé Berlioux, co-rapporteuse du Gouvernement sur les causes de l’infertilité, remonte un constat alarmant, en France : aujourd’hui, un couple sur quatre ayant un désir d'enfant, est confronté à un problème de stérilité (soit environ 6 millions de Français touchés). Depuis des siècles, la stérilité masculine était taboue :le problème de fertilité essentiellement celui de la femme. On sait aujourd'hui qu'elle est répartie de façon égale entre l’homme et la femme. Malformations génétiques, atteintes pathologiques (endométriose), azoospermie, nos appareils reproducteurs se portent mal.
Mais la science est là pour nous venir en aide.
Ceci étant posé, il ne faudrait pas avoir une croyance excessive dans la PMA et ses performances : 1 couple sur 2 quitte le circuit de la procréation médicale assistée sans bébé.
Face à cette baisse de fertilité, le professeur Samir Hamamah, chef du service de biologie de la reproduction du CHU de Montpellier, tire la sonnette d'alarme: selon lui, il faudrait mettre en place rapidement une prévention et encourager les femmes ayant moins de 28 ans, à "placer en banque" quelques ovules ou quelques paillettes, « au cas où ».
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| @ Santé sur le Net |
L’Homme court-il à sa fin ?
Aujourd’hui, on parle du réchauffement climatique comme d'une "grande cause environnementale". Tout le monde sait que la pollution et le changement climatique qui en découle engendrent la disparition de nombreux écosystèmes et favorisent de façon irrémédiable une altération de la biodiversité.On parle bien d’êtres vivants, ici. L‘homme aussi, jusqu’à preuve du contraire, est un être vivant, et lui aussi est menacé de disparaître un jour.
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Les facteurs environnementaux, sans qu’on le sache, sans le vouloir, et même sans le savoir, nous y sommes exposés. A raison d’une centaine de molécules toxiques par jour dans l’air, l’eau et le sol.
Et donc, dans la nourriture.
A cela s’ajoute l’endroit où l’on vit.
A cela s’ajoute l’endroit où l’on vit.
Si l’on habite dans un périmètre de 5 à 10 km proche d’un déchèterie, d’une usine pétrochimique, d’une fabrique de peinture, d’une exploitation d’agriculture intensive, ce facteur environnemental est multiplié par dix. Tous ces facteurs peuvent influer sur la fertilité.
Sans oublier la cosmétologie. Quand vous achetez un shampoing, un parfum, un rouge-à-lèvres, toutes ces substances contiennent des perturbateurs endocriniens.
Sans oublier la cosmétologie. Quand vous achetez un shampoing, un parfum, un rouge-à-lèvres, toutes ces substances contiennent des perturbateurs endocriniens.
Le point le plus alarmant de tous est, de mon point de vue, la féminisation des espèces, en particulier celle de l'Homme. Et il est le coeur du sujet d'Obsolète.
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| @consoglobe.com |
Le combat pour demain
Lors d'un intervention sur France Info, interrogé sur les solutions à mettre en place rapidement, le professeur Samir Hamamah a évoqué la création d’un logo d’empreinte toxique visant à indiquer au consommateur quels perturbateurs endocriniens se trouvent dans les produits qu’ils achètent. Aura-t-il gain de cause face aux grands groupes industriels pétrochimiques et aggroalimentaires ?En 2224, je fais le vœu que ce logo ne sera plus utilisé car plus aucun produit ne sera fabriqué à partir de composants toxiques.
Ce livre tire la sonnette d'alarme.
A votre tour de faire du lobbying pour la seule cause qui vaille vraiment le coup de se battre : notre descendance.
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| @Figurealm.com |